Aloès : Aloe vulgaris Famille des Liliacées
NOMS COMMUNS : Aloès du Cap, Aloès des Barbares
NOMS COMMUNS : Aloès du Cap, Aloès des Barbares
CONSTITUANTS PRINCIPAUX : Des tanins, des résines, des minéraux, des oligo-éléments, des polysaccharides, des saponines, des acides aminésOn utilise la plante
Elle est conseillée comme purgative.Gel en application topique - traiter l'herpès génital. les plaies, les brûlures et les affections traiter les infections, inflammations et lésions cutanées légères, les brûlures et les engelures. cutanées. gel par voie orale - abaisser modérément la glycémie chez les diabétiques. Abaisse la glycémie chez les diabétiques (médecine ayurvédique);Elle doit de prendre en petite quantité, elle est interdite aux femmes enceintesOn utilise le suc
Elle est conseillée pour les cancers de la peau - Acné- Plaies et blessures- Hémorroïdes- Constipation- Diabète- Démangeaisons
PROPRIÉTÉS : - Purgatif drastique- Cicatrisant- Antiseptique- Tonique- Emménagogue- Anti-inflammatoire
DESCRIPTION : L'aloès est dépourvue de tronc et peut dépasser 5 mètres de haut. Elle porte des rosettes de feuilles étroites, gris-vert, serrées, épaisses et charnues, longues de 50 cm, au bord dentélé ou épineux. Les inflorescences en épis de fleurs jaunes ou rouges peuvent atteindre 1 mètre de long. Le fruit est une capsule triloculaire contenant des graines plates, de forme ellipsoïdes.
Originaire des milieux arides d'Afrique du Sud et dans certaines îles de l'océan indien, il est aujourd'hui cultivé partout dans le monde.On le multiplie en détachant des petits plants munis de racines que l'on replante. Le suc des feuilles s'écoule naturellement de la feuille coupée.
UN PEU D'HISTOIRE : Les vertus curatives de l'aloès étaient déjà bien connues dans l'antiquité. Faits, témoignages authentiques et récits légendaires parsèment son histoire. C'est chez les Sumériens, à l'époque des rois d'Akkad, que l'on retrouve sur des tablettes d'argile, la première allusion à l'usage thérapeutique de l'aloès (musabbar). Le "Livre égyptien des remèdes" du fameux papyrus Ebers (XVe siècle av. J.-C.) fait également mention de l'aloès parmi des formules de guérison remontant peut-être au IIIe millénaire avant notre ère. Chez les Hindous, l'aloès figure en bonne place parmi les plantes secrètes de l'Atharvaveda qui le surnomme "le guérisseur silencieux".
ATTENTION : L'usage interne est formellement interdit chez le jeune enfant et la femme enceinte ou qui allaite, ainsi que chez les personnes souffrant d'urémie, d'une insuffisance rénale ou d'une maladie du foie.
PROPRIÉTÉS : - Purgatif drastique- Cicatrisant- Antiseptique- Tonique- Emménagogue- Anti-inflammatoire
DESCRIPTION : L'aloès est dépourvue de tronc et peut dépasser 5 mètres de haut. Elle porte des rosettes de feuilles étroites, gris-vert, serrées, épaisses et charnues, longues de 50 cm, au bord dentélé ou épineux. Les inflorescences en épis de fleurs jaunes ou rouges peuvent atteindre 1 mètre de long. Le fruit est une capsule triloculaire contenant des graines plates, de forme ellipsoïdes.
Originaire des milieux arides d'Afrique du Sud et dans certaines îles de l'océan indien, il est aujourd'hui cultivé partout dans le monde.On le multiplie en détachant des petits plants munis de racines que l'on replante. Le suc des feuilles s'écoule naturellement de la feuille coupée.
UN PEU D'HISTOIRE : Les vertus curatives de l'aloès étaient déjà bien connues dans l'antiquité. Faits, témoignages authentiques et récits légendaires parsèment son histoire. C'est chez les Sumériens, à l'époque des rois d'Akkad, que l'on retrouve sur des tablettes d'argile, la première allusion à l'usage thérapeutique de l'aloès (musabbar). Le "Livre égyptien des remèdes" du fameux papyrus Ebers (XVe siècle av. J.-C.) fait également mention de l'aloès parmi des formules de guérison remontant peut-être au IIIe millénaire avant notre ère. Chez les Hindous, l'aloès figure en bonne place parmi les plantes secrètes de l'Atharvaveda qui le surnomme "le guérisseur silencieux".
ATTENTION : L'usage interne est formellement interdit chez le jeune enfant et la femme enceinte ou qui allaite, ainsi que chez les personnes souffrant d'urémie, d'une insuffisance rénale ou d'une maladie du foie.
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