
MARRUBE BLANC Marrubium vulgare Famille des Labiées
NOMS COMMUNS : Bonhomme, Herbe aux crocs, Herbe vierge, MarrocheminCONSTITUANTS PRINCIPAUX : Des flavonoïdes, des traces d'huile essentielle, des mucilages, des acides phénolsPARTIES UTILISÉES : Les sommités fleuries
INDICATIONS :- Fièvre- Règles douloureuses- Arythmie cardiaque
PROPRIÉTÉS : - Fébrifuge- Tonique amer- Cholérétique
UN PEU D'HISTOIRE : Connu depuis la plus haute antiquité, les Égyptiens l’utilisaient, comme principal ingrédient, dans un antidote des poisons végétaux. Elle était déjà considérée comme le spécifique des affections de l’appareil respiratoire dans l’Égypte et la Grèce anciennes. Le Moyen Âge, qui l’employait couramment dans le traitement des mêmes maux, l’a de surcroît reconnu tonique, cholagogue et diurétique. Elle est considérée par J.-E. Gilibert (1798) comme ‘ l’une des meilleures plantes d’Europe ».
Le marrube blanc fut traditionnellement employé dans la fabrication des remèdes de toux. Antonius Castor le connaissait et Pline l'Ancien indique de nombreuses préparations curatives utilisant le marrube.
ATTENTION : On recommande généralement aux femmes enceintes d'éviter le marrube parce que, selon la Commission E, la plante stimulerait l'utérus et pourrait avoir une action abortive.
NOMS COMMUNS : Bonhomme, Herbe aux crocs, Herbe vierge, MarrocheminCONSTITUANTS PRINCIPAUX : Des flavonoïdes, des traces d'huile essentielle, des mucilages, des acides phénolsPARTIES UTILISÉES : Les sommités fleuries
INDICATIONS :- Fièvre- Règles douloureuses- Arythmie cardiaque
PROPRIÉTÉS : - Fébrifuge- Tonique amer- Cholérétique
UN PEU D'HISTOIRE : Connu depuis la plus haute antiquité, les Égyptiens l’utilisaient, comme principal ingrédient, dans un antidote des poisons végétaux. Elle était déjà considérée comme le spécifique des affections de l’appareil respiratoire dans l’Égypte et la Grèce anciennes. Le Moyen Âge, qui l’employait couramment dans le traitement des mêmes maux, l’a de surcroît reconnu tonique, cholagogue et diurétique. Elle est considérée par J.-E. Gilibert (1798) comme ‘ l’une des meilleures plantes d’Europe ».
Le marrube blanc fut traditionnellement employé dans la fabrication des remèdes de toux. Antonius Castor le connaissait et Pline l'Ancien indique de nombreuses préparations curatives utilisant le marrube.
ATTENTION : On recommande généralement aux femmes enceintes d'éviter le marrube parce que, selon la Commission E, la plante stimulerait l'utérus et pourrait avoir une action abortive.
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